
LEANDRE LEROUGE
Léandre Lerouge, créatif et fondateur du label éponyme, nous dévoile son appartement bordelais à l'univers pop et coloré. La marque Leandre Lerouge allie culture, musique, mode et art avec beaucoup de bonne humeur. Bordelais d’origine, il a inauguré il y a quelques mois une première boutique dans sa ville natale, au 3 rue esprit des lois.






Je suis Leandre Lerouge, directeur créatif de la marque Leandre Lerouge. Un artiste qui crée avec naïveté, toujours animé par l’envie de partager de bonnes vibrations. À travers mes œuvres, mes objets décalés et mes vêtements, je cherche avant tout à transmettre une énergie positive et à faire sourire.
Je suis arrivé là grâce à la passion. C’est elle qui m’a guidé, porté, parfois même poussé quand tout semblait incertain. La passion, c’est ce moteur invisible qui m’a donné la force de croire en mes idées, d’oser créer sans me soucier des limites, et de transformer mes envies en projets concrets. Rien n’a été calculé j’ai simplement suivi ce feu intérieur.
Suivre la passion, jamais la peur.
Ce sont les gens qui m’entourent, leurs différences, leurs émotions. Je m’inspire profondément de l’être humain. Cela peut sembler simple, mais c’est dans l’observation du quotidien que je puise le plus d’idées. Un regard, une attitude, une manière de s’exprimer… tout devient source d’inspiration. Cette attention aux autres m’aide à imaginer des espaces, à choisir les couleurs de mes œuvres, à créer des objets qui apaisent, qui questionnent ou simplement qui font sourire.
La pièce de mode ou l’œuvre d’art dont je rêve, ce serait de donner vie à mon personnage, le costume spatial. C’est une figure que j’ai créée, avec son casque rouge, son buste jaune et ses jambes bleues. J’aimerais le voir prendre une dimension monumentale, mesurer une dizaine de mètres de haut, installé sur une place emblématique de France.
Le café de minuit.
Le café gourmand.
L'hôtel Mondrian.
Ma boutique au 3 rue esprit des lois !
Un sac de voyage Louis Vuitton en taille 55.









Je pars à Istanbul, visiter des usines.
Je suis tout le contraire d’un matérialiste. Tout ce que j’ai chez moi, je le garde avec la conscience que cela peut disparaître à tout moment. Rien n’est vraiment précieux. Et, paradoxalement, c’est cette idée-là qui me fait un peu peur..
Virgil Abloh.
Pulp Fiction. J’aime beaucoup ce film mais je ne regarde pas de séries. Mon temps libre est consacré au dessin ou à regarder des reportages, des autobiographies. J’aime beaucoup rester dans le réel.
Ma playlist change tout le temps : je ne reviens presque jamais sur ce que j’ai déjà écouté, sauf si ça me retombe dessus par hasard. Je télécharge sans cesse de nouveaux albums, je les découvre, puis j’attends les suivants. J’ai l’impression qu’aujourd’hui, la musique tourne un peu en rond, alors je la consomme sans vraiment m’y attacher. Mais un artiste qui m’a marqué, au point de vraiment me questionner, c’est Stromae. Quand il est arrivé, j’ai ressenti une vraie forme d’addiction.






























